le mal être
Le mal être
Le mal être est un vrai problème dans notre société. Harcèlement au travail, problèmes financier, problèmes psychologique, ou complexe social due à une non conformité aux stéréotypes de notre société. On se sent très vite mal de nos jours, et les gens qui vont mal sont de plus en plus marginalisés alors qu'ils sont de plus en plus nombreux. Enfermez les, soignez les, mais ne les exposez pas aux autres surtout, isolez les, pour mieux les ignorer.Personne ne doit les voir , personne ne doit les entendre , personne ne doit savoir... Le problème c'est qu'on ne soigne pas les sources du mal être mais seulement les personnes qui en soufrent. Pendant que les cellules psychologiques fleurissent au premier incident venu, les services psychologiques des établissements ferment les yeux sur les monstruosités qui ont lieu à l'interrieur de leurs structures.
En ce moment je repense beaucoup à la vie que j'ai mené jusqu'a ce jours. Ca m'aide à aller mieux. Je repense à beaucoup de choses que j'ai vécu. Certains souvenirs me font sourire comme cette dame qui est venue me demander de l'aide quand je travaillais au cyber-café parce qu'elle n'arrivais pas à lire ses mails alors qu'elle n'avais même pas allumer l'ordinateur. Ou bien ce fous rire interminable que j'avais eu en cours d'écologie de terminale, qui m'avais valu l'exclusion. D'autres souvenirs me reviennent sans trop savoir pourquoi, comme cette gamelle que je me suis pris un soir quand j'étais petit , et que je m'amusais a sauter par dessus ma chienne allongée, jusqu'à la fois où elle c'est levée en même temps, et que j'ai éclaté la vitre de la porte, et ma tête par la même occasion.Et puis fatalement reviennent les mauvais souvenirs, et les cauchemars qu'on aimerais voir disparaitre de sa mémoire.
J'ai toujours pensé que je maitrisais ma vie, et je pouvais en faire ce qu'il me plaisais. J'ai toujours papillonné un peu partout, touchant à tout, avec cette soif de connaissance. D'ailleurs je me rends compte avec le recul que cette attitude dans ma vie a déteint sur mon attitude amoureuse. Seulement voilà , toute expérience peut s'avérer bonne ou mauvaise , et un jour, j'ai fais une très mauvaise experience. Une de celles qui vous détruit. Une de celle qui vous hante tous les jours.
J'ai essayé d'oublier. Le soucis c'est qu'on est que la somme de nos expériences, bonnes ou mauvaises, et renier le passer c'est se renier soi même. Je devrais me faire une raison, et me dire que tout ça est et doit rester derrière moi.
Lorsqu'on pense que la vie est un concours de circonstance, et que la conscience est un mystère, je finis par rigoler de me voir me torturer avec des souvenirs. Après tout la vrai clé du bonheur est peut être là. Quand on pense que notre vie, nos pensées, sont un tel concours de circonstance, et qu'on a tellement de chance de vivre notre vie , alors quel intérêt peut ressortir du mal être? Après tout le monde n'a pas changé pendant ces cinq mois. Il n'est ni plus bon, ni plus mauvais. Après tout, souffrir ne changera rien à ce monde, et puisque la justice fais la moue , et que le psy n'en a rien à faire, alors à quoi bon se sentir mal? Puisque tout le monde se fout de ce qui à put se passer, alors pourquoi moi je ne m'en fous pas? J'en suis convaincu désormais, notre système est pourris de l'interrieur. Le monde dans lequel nous vivons ne tourne pas rond.
Je sais qu'il manque quelque chose à ma vie pour me sentir bien. Est ce que partir dans les chevaux m'apportera ce qui me manque pour me sentir bien? Est ce que vivre au milieu de ces majestueux annimaux pour qui la folie des hommes importe peu m'aidera?
Peut être que c'est eux qui m'aideront à me sentir vivant...
Le mal être est un vrai problème dans notre société. Harcèlement au travail, problèmes financier, problèmes psychologique, ou complexe social due à une non conformité aux stéréotypes de notre société. On se sent très vite mal de nos jours, et les gens qui vont mal sont de plus en plus marginalisés alors qu'ils sont de plus en plus nombreux. Enfermez les, soignez les, mais ne les exposez pas aux autres surtout, isolez les, pour mieux les ignorer.Personne ne doit les voir , personne ne doit les entendre , personne ne doit savoir... Le problème c'est qu'on ne soigne pas les sources du mal être mais seulement les personnes qui en soufrent. Pendant que les cellules psychologiques fleurissent au premier incident venu, les services psychologiques des établissements ferment les yeux sur les monstruosités qui ont lieu à l'interrieur de leurs structures.
En ce moment je repense beaucoup à la vie que j'ai mené jusqu'a ce jours. Ca m'aide à aller mieux. Je repense à beaucoup de choses que j'ai vécu. Certains souvenirs me font sourire comme cette dame qui est venue me demander de l'aide quand je travaillais au cyber-café parce qu'elle n'arrivais pas à lire ses mails alors qu'elle n'avais même pas allumer l'ordinateur. Ou bien ce fous rire interminable que j'avais eu en cours d'écologie de terminale, qui m'avais valu l'exclusion. D'autres souvenirs me reviennent sans trop savoir pourquoi, comme cette gamelle que je me suis pris un soir quand j'étais petit , et que je m'amusais a sauter par dessus ma chienne allongée, jusqu'à la fois où elle c'est levée en même temps, et que j'ai éclaté la vitre de la porte, et ma tête par la même occasion.Et puis fatalement reviennent les mauvais souvenirs, et les cauchemars qu'on aimerais voir disparaitre de sa mémoire.
J'ai toujours pensé que je maitrisais ma vie, et je pouvais en faire ce qu'il me plaisais. J'ai toujours papillonné un peu partout, touchant à tout, avec cette soif de connaissance. D'ailleurs je me rends compte avec le recul que cette attitude dans ma vie a déteint sur mon attitude amoureuse. Seulement voilà , toute expérience peut s'avérer bonne ou mauvaise , et un jour, j'ai fais une très mauvaise experience. Une de celles qui vous détruit. Une de celle qui vous hante tous les jours.
J'ai essayé d'oublier. Le soucis c'est qu'on est que la somme de nos expériences, bonnes ou mauvaises, et renier le passer c'est se renier soi même. Je devrais me faire une raison, et me dire que tout ça est et doit rester derrière moi.
Lorsqu'on pense que la vie est un concours de circonstance, et que la conscience est un mystère, je finis par rigoler de me voir me torturer avec des souvenirs. Après tout la vrai clé du bonheur est peut être là. Quand on pense que notre vie, nos pensées, sont un tel concours de circonstance, et qu'on a tellement de chance de vivre notre vie , alors quel intérêt peut ressortir du mal être? Après tout le monde n'a pas changé pendant ces cinq mois. Il n'est ni plus bon, ni plus mauvais. Après tout, souffrir ne changera rien à ce monde, et puisque la justice fais la moue , et que le psy n'en a rien à faire, alors à quoi bon se sentir mal? Puisque tout le monde se fout de ce qui à put se passer, alors pourquoi moi je ne m'en fous pas? J'en suis convaincu désormais, notre système est pourris de l'interrieur. Le monde dans lequel nous vivons ne tourne pas rond.
Je sais qu'il manque quelque chose à ma vie pour me sentir bien. Est ce que partir dans les chevaux m'apportera ce qui me manque pour me sentir bien? Est ce que vivre au milieu de ces majestueux annimaux pour qui la folie des hommes importe peu m'aidera?
Peut être que c'est eux qui m'aideront à me sentir vivant...